Beni : assassinat du chef de poste principal de l’ANR.

Radio Okapi

19/05/07

 

Ce responsable de l'agence nationale des renseignements a été tué la nuit de vendredi. Raymond Kibwamana a été abattu à son domicile. Les membres du comité de sécurité de la ville se sont réunis samedi matin. Ils étudient les voies et moyens en vue d'arrêter les auteurs de ce crime, rapporte radiookapi.net

Le meurtre a eu lieu au quartier Kasabiniole, dans la commune de Ruwenzori. Ce quartier est situé à une centaine de mètres du camp militaire « 40 logements », l’un des plus sécurisés de Beni. Le chef de poste principal de l’agence national de Renseignements, Raymond Kibwamana, a été abattu par 2 balles dans la tête. Il revenait du service à bord de sa voiture. Selon un membre de sa famille, 2 bandits l’attendaient devant sa maison. Ils ont tiré 2 coups de feu, suivis d’une rafale. Le maire de Beni, Jules Mungwana, indique que les mobiles de cet assassinat restent inconnus. Il précise que les tueurs n’ont rien emporté. Ce meurtre intervient alors que la ville de Beni commençait à retrouver une certaine accalmie après la série d’assassinats de janvier et février derniers.

 

Radiookapi.net

 

RDC: Espoir perdu pour une population victime du népotisme.

El Memeyi Murangwa

 

18/05/07

 

mobutu.jpgQui pouvait réellement croire que la splendeur qui s’observa à la date du 20 mai 1967 allait se transformer 40 ans après, en une déconfiture indescriptible.  Cette dure réalité ne peut malheureusement qu’être perçu par ceux ayant vécu les régimes successifs.

 

Deux années après la prise du pouvoir par le General JD Mobutu, le guide aimé et éclairé réussi un coup de maître en rassemblant les opérateurs politiques dans un grand parti, le Mouvement Populaire de la Révolution en sigle MPR ayant le meilleur projet de société dans sa charte : Le Manifeste de la N’sele.  La volonté du nouveau régime d’assurer le bien être du Congolais, permettra la pacification du pays et facilita l’implantation des plusieurs investissements étrangers à travers le pays. Des grands chantiers verront le jour : Barrage d’Inga, Sidérurgie de Maluku, Usines GM, Usines pneumatiques Good Year, Modernisation de la Gécamines (Concentrateur de Kamoto), Sodimiza, Tenke Fngurume, Air Congo avec plus de 40 avions gros porteurs, SNCC et l’Onatra.  Une multitude d’entreprises productrices des produits à valeur ajoutée s’établirent dans la zone industrielle de Limeté avec projet d’extension dans ce qui devait devenir la Zone franche d’Inga, nu été la dérive totalitaire du régime Mobutu.

 

L’agriculture priorité des priorités se porta merveilleusement bien avec une production des denrées alimentaires et autres produits d’exportation ; Café, Thé, Quinquina et Pyrèthre.  Les éleveurs du Nord Kivu comptèrent 500.000 têtes de bétail, nourrissant les grandes agglomérations du pays et fournissant un  fromage de qualité aux capitales occidentales.

 

Le pays se trouva au Zénith grâce au respect des textes et à la qualité du travail que dispensèrent les auxiliaires de l’administration publique, formés et forgés par les colonialistes Belges.  N’ayant pas de premier ministre, Mobutu demeura à l’écoute d’un collège des conseillers à compétence remarquable lui fourni par Mgr Giron, Recteur de L’Université Lovanium. Ce groupe suppléant aux carences académiques du chef, évita au Général Président de tomber dans la gabegie financière et le népotisme.   Continue reading

Le président Kabila promet de mettre fin rapidement à l’insécurité.

Xinhuanet

18/05/07

 

Le président de la RDCongo Joseph Kabila a promis jeudi, de mettre fin rapidement à la situation d'insécurité qui prévaut actuellement
dans l'est du pays, dans son discours à l'occasion du 10ème anniversaire de la révolution du 17 mai.

Il a promis de faire de même du comportement des milices, des militaires fidèles au général déchu Laurent Nkunda au Nord et au Sud-
Kivu (est) qui se montrent réfractaires au processus de brassage et d'intégration de l'armée et de pacification du territoire.

La reprise de l'activité des groupes armés, installant l'insécurité dans certaines parties du pays, a constaté le président Kabila, ne
peut permettre au gouvernement de prendre de l'envol dans les tâches auxquelles il s'attèle pour la reconstruction et le développement de
la RDCongo.

M. Kabila a saisi l'occasion pour féliciter l'armée nationale, la police nationale ainsi que les services de sécurité pour le courage
et le sens d'abnégation dans l'accomplissement de leur mission, malgré les conditions de travail difficiles et souvent précaires.

Il a souligné la préoccupation prioritaire de la nation de faire aboutir rapidement le processus de refondation d'une armée
républicaine, apte à défendre le pays à tout moment.

La date du 17 mai 1997 marque l'entrée à Kinshasa du défunt président de la RDCongo, feu Laurent-Désiré Kabila, mettant fin au
régime du maréchal Mobutu, après 32 ans de règne sans partage.

 

Xinhuanet

RDC: Discous du Président de la République, Joseph Kabila.

A l’occasion du 10ème anniversaire de la prise de pouvoir par les forces de l’Afdl.

17/05/07

 

Mes Très Chers Compatriotes,

Il y a dix ans, jour pour jour, notre pays, la République Démocratique du Congo réussissait un changement politique révolutionnaire par la victoire du peuple, sous la houlette de M’zee Laurent-Désiré KABILA.

Le 17 Mai 1997 n’a pas été la victoire d’un camp sur un autre. Il s’est agi plutôt de l’aboutissement d’une lutte fondée sur l’espoir de tout un peuple dans la possibilité d’un changement qui devait mettre fin à la gabegie, au népotisme et autres pratiques inacceptables qui empêchaient le décollage d’un pays au potentiel économique extraordinaire et aux ressources humaines admirables.

Ce combat que M’zee Laurent-Désiré KABILA avait repris en 1960, s’inscrivait dans la trame de la quête pour la liberté et l’indépendance de nos héros à travers l’histoire ancienne et récente; qu’il s’agisse de Simon KIMBANGU, de Patrice Emery LUMUMBA, de Pierre MULELE et d’autres qui, au moment fort de la grande décision, ont accepté de livrer le bon combat, celui de la dignité et de la liberté.

Nous devons nous incliner devant la mémoire des hommes et des femmes qui ont sacrifié leurs intérêts personnels pour sauvegarder et promouvoir l’intérêt général et national.

Nous devons leur rendre un hommage appuyé et mérité afin que la jeunesse sache qu’il y a des modèles à suivre pour préserver l’unité et l’intégrité de notre pays.

Mes Chers Compatriotes,

La raison d’être de la libération du 17 Mai 1997 était  de remettre le pouvoir au peuple qui devait en être à la fois l’origine et la finalité.

J’ai repris à mon compte ce processus libérateur, un moment interrompu par la disparition inopinée de M’zee Laurent-Désiré KABILA, et je note aujourd’hui avec satisfaction, que le peuple congolais a honoré la mémoire de M’zee en se prenant en charge et en conduisant jusqu’au bout un processus électoral laborieux et difficile.

La République Démocratique du Congo dispose aujourd’hui d’un Président de la République élu au suffrage universel, d’un Gouvernement national, d’une Assemblée Nationale et d’un Sénat dont les membres ont été directement ou indirectement désignés par le peuple, des Assemblées provinciales élues et des Gouvernements provinciaux.

Dans ce cadre, je salue la mise en place du bureau définitif de l’Assemblée nationale et celle plus récente du bureau définitif du Sénat et j’affirme que le processus électoral initié en 2005 ira jusqu’au bout par l’organisation des élections municipales et locales.

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Arbour (ONU): l’impunité est un “fléau qui hypothèque l’avenir” de la RDC.

AFP

17/05/07

louise_arbour.jpgLe Haut commissaire des Nations unies aux droits de l'Homme, de l'Homme, Louise Arbour, a appelé mercredi à Kinshasa à la réforme de la justice pour mettre fin à l'impunité, un "fléau qui hypothèque l'avenir" de la République démocratique du Congo (RDC), au cours d'une conférence de presse.

"L'impunité qui règne dans une grande partie du pays (…) constitue le plus grand obstacle à l'instauration d'un véritable Etat de droit" dans un pays marqué par le long règne du dictateur zaïrois Mobutu Sese Seko (1965-97) et deux guerres successives (entre 1996 et 2003), a déclaré Mme Arbour.

Alors que plusieurs chefs de guerre congolais ont été récompensés par des grades élevés au sein de l'armée après leur reddition ces derniers mois, Mme Arbour a fermement rappelé que l'ONU était totalement opposée à des amnisties concernant les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité.

"Même si il y a de temps en temps des amnisties provisoires pour amener certains acteurs à la table des négociations (…), la moindre des choses est de ne pas récompenser les responsables de crimes en leur donnant des postes dans l'administration publique et dans les services de sécurité", a-t-elle déclaré.

Elle a estimé que la reconstruction de la RDC ne pourrait de faire que sur "des bases assainies et un rejet durable de l'impunité".

"Je dois citer ici le délabrement presque total dans lequel se trouve le système judiciaire du pays" et la nécessité de réhabiliter "la notion même de justice", a affirmé Mme Arbour

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RDC: La Monuc rempile.

BBC News

16/05/07

monuc_goma.jpgLe conseil de sécurité de l’ONU a adopté hier une résolution renouvelant pour une période de 6 mois supplémentaires, c'est-a-dire jusqu'au 31 décembre 2007, le mandat de la MONUC, la Mission des Nations Unies en République Démocratique du Congo.

En incluant les civils, la MONUC compte près de 22 000 personnes ce qui en fait la plus grosse opération des Nations-Unies à l'heure actuelle.

Le conseil qui se rendra en RDC en juin prochain demande aux troupes onusiennes sur place d'aider à mettre hors d'état de nuire tous les groupes armés locaux ou étrangers qui voudraient saboter le processus post-transition.

Les effectifs de la MONUC sont maintenus jusqu'au 31 décembre 2007.

A la faveur de la résolution adoptée hier à l'unanimité de ces membres le conseil de sécurité décide que les troupes onusiennes, dans la limite de leurs capacités et dans leurs zones de déploiement, doivent aider le gouvernement congolais à instaurer un environnement stable de sécurité surtout dans la perspective de la tenue des élections locales.

Sans préciser les aspects logistiques du redéploiement des troupes, le conseil indique que les casques bleus doivent appuyer les opérations conduites par les brigades intégrées des FARDC en vue de désarmer les groupes locaux et étrangers récalcitrants et assurer leur participation au processus de désarmement, démobilisation et réinsertion.

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Le Forcené Prophétator appelle à la mutinerie des FARDC.

Déconstruire Ngbanda

Alex Engwente

14/05/07

 

frere_ngbanda.jpgLe Prophétator ressemble de plus en plus au Schwarzenegger de la série des films Terminator. Un robot envoyé d'un avenir apocalyptique pour revenir corriger une erreur historique en train de se commettre dans le présent aux fins d'impacter ce même futur d'où le monstre provient.

ON peut désarticuler cette machine tant que l'on veut mais s'il en reste un membre en circuit, eh bien !, celui-ci se ranimera pour continuer à semer mort et terreur. Il n'y a qu'une seule solution : passer tout sous rouleau compresseur pour rendre cette machine hors d'état de nuire. Ce n'est que Hollywood qui peut produire un scénario aussi stupide que celui-là, mais avec ses effets spéciaux impressionnants et ses cascades à vous couper le souffle, la série Terminator restera toujours un bon divertissement pour cinéphiles amateurs des séries B. Point ne sont, en tout cas, les productions de notre Prophétator, car avec ce prophète sorti tout droit des caniveaux de la Rivière Kauka, qui agite la Bible d'une main et la faux du Moissonneur de la Mort de l'autre, on parle bien d'êtres humains-et pardonnez la redondance : en chair et en os ! Dans un pays où des politiciens ont déjà causé 5 millions de morts parmi leurs propres concitoyens-et le compte macabre continue au moment même où le clavier de mon ordinateur saisit ma pensée !

 

Dans son appel du 8 du mois en cours, le Prophétator en appelle à la mutinerie des FADRC à l'occasion de la commémoration du 10ème anniversaire du renversement de la dictature mobutiste le 17 mai 2007. Mais, comme à notre habitude, faisons plutôt un exercice d'« analyse du discours » de ce pamphlet du forcené Prophétator pour épingler contradictions et mensonges qui le jalonnent.

 

Le Prophétator ouvre son appel avec des accents des discours mémorables que le Maréchal martelait de sa voix de stentor : « Officiers, Sous-officiers, Caporaux et soldats congolais ». Avec une faute toutefois : Mobutu ne disait plus « caporaux » mais plutôt « gradés ». Sans blague… il y a boulon perdu dans la machine du cerveau de ce prophète des bouges sordides de Yakoma… Le Prophétator cette fois-ci n'en appelle pas à tout son « peuple » de Kinshasa mais directement à une partie de son « peuple » : une partie de l'armée. Comme on va le voir dans les lignes qui suivent, il appelle à cette mutinerie dans la capitale congolaise, au jour du défilé du 17 mai 2007.

 

Mais avant toute conclusion hâtive, considérons le premier paragraphe de cet appel qui dit en substance : « Un certain 17 mai 1997, une forte coalition des armées rwandaise, ougandaise, burundaise, angolaise, tchadienne et érythréenne achevait le processus d'invasion de notre pays la République du Zaïre aujourd'hui la République Démocratique du Congo, par le renversement des institutions politiques dans la capitale. Cette invasion concoctée avec la complicité de certaines puissances occidentales avait pour seul but d'assouvir les ambitions des pays voisins de la RD Congo et des puissants lobbies politico financiers de l'occident d'occuper notre territoire national pour s'approprier nos immenses richesses nationales. Nous avons largement décrit avec preuves à l'appui les auteurs de cet ignoble complot international contre le peuple congolais à travers plusieurs écrits et interviews sans que leurs auteurs ne nous apportent la moindre contradiction ! »

 

 

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RDC : Les torpilleurs d’une paix des braves.

Antoinette K. Kankindi

Nairobi, 16/05/07

 

 

monuc-uruguayan.jpgL’histoire comme le temps passe vite. Pendant que le temps ne revient pas, l’histoire lui passe et demeure tel un registre, une mémoire des civilisations.  Le nombre d’événements qui se succèdent en RDC aujourd’hui est si grand que l’on peut considérer comme appartenant à l’histoire ce qui vient de se passer il y a juste un moment, d’où l’importance de l’histoire comme mémoire d’un peuple : ces événements passés sont enregistrés, nous pouvons y retourner pour nous y ressourcer. Voilà, pas plus tard que le mois de janvier dernier, le Général Numbi disait  au Nord Kivu qu’il apportait, de la part du Commandant Suprême des FARDC un message de paix des braves sans vainqueur ni vaincu. L’on se souvient qu’il s’adressait à nul autre que le Généra Laurent Nkunda Mihigo – le nom dit tout sur la personne – que les media occidentaux cités juteusement par les media locaux aiment appeler Nkundabatware, ou ex-général, général déchu, renégat, sous mandat d’arrêt international et je ne sais quel autre nom. Ces mêmes media savent que ce fameux mandat est plutôt fumeux, n’importe quel juriste peut vous dire jusqu’où va la virtualité d’un mandat qui n’est qu’une autre version de slogan xénophobe mal déguisé.

Quand il faut affubler un personnage devenu public a cause des valeurs et de la cause qu’il défend autant de qualificatifs, il faut penser qu’il y a bien anguille sous roche ! Mais revenons au sujet important ici : la paix des braves dont parlait le général Numbi il y a si peu est restée, comme beaucoup de choses sous les nouvelles institutions de la république, lettre morte. Un grand nombre de vrais ennemis de la paix la torpille. Très sensible à sa propre cause puisque c’est la cause du peuple, Nkunda a eu, la semaine dernière, la chance d’expliquer ce qui n’allait pas. Le journaliste au micro de qui il s’est exprimé  semble avoir été suspendu, pauvre petit héraut de la liberté d’expression ! Il ne faut pas se leurrer, on est plein dans un régime dictatorial. Comme n’importe quel originaire du terroir, Nkunda sait très bien quelle est la cause de l’insécurité ; comme officier de l’armée, il sait comment y mettre fin.  Il est allé jusqu'à offrir sa propre contribution que Numbi  a reconnue. Alors d’où vient le regain de tension qui fait courir Mr William Lacy Swing entre le parlement, la présidence et le Nord Kivu?

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Journalistes rwandais, burundais et congolais réunis à Goma dans la convivialité

Taylor Toeka Kakala

15/05/07

goma.jpgIls étaient venus du Rwandais, du Burundi et de toutes les provinces de la RDC. Ils se sont retrouvés réunis à Goma, du 7 au 11 mai, dans un atelier de formation de nouveaux correspondants de l'Agence de presse Syfia Grands Lacs. Pendant une semaine, les journalistes de la région n'ont pas appris que les notions et règles de leur profession, mais aussi comment jouer un rôle de premier plan dans la réconciliation des populations de leurs pays.

 

Contents de se sentir en famille, les correspondants.
" J'avais peur suite aux événements liés à la guerre d'agression de 1998. Cette fois- ci, il est important que les armes ne crépitent pas pendant cet atelier ", a indiqué un journaliste congolais venu de Matadi, dès son arrivée dans la ville. Un autre Congolais de Bukavu, qui portait un T-shirt provenant du Rwanda, a manifesté sa joie d'avoir partagé une chambre avec un Rwandais qu'il ne connaissait pas, et qui ronflait en plus ! Un témoignage tellement vivant que l'émotion se lisait sur les visages d'un grand nombre de participants. " Non ! Je ne pouvais pas croire qu'il existe des Congolais qui peuvent être aussi tolérants ", s'est étonné un journaliste rwandais !

Cette rencontre des journalistes du Rwanda, du Burundi et de la RDC, appartenant à une multitude d'ethnies et de cultures, a démontré le rôle que ces derniers doivent jouer pour la réconciliation. D'abord, surpris d'être bien accueillis et rassemblés autour d'une table en carré, timides et réticents au départ, les journalistes se sont finalement exprimés librement. " C'est du brouhaha ", s'est exclamé le Belge André Linard, l'un des formateurs, pour couper court aux petites conférences parallèles. L'atmosphère s'est détendue petit à petit, fruit des échanges d'expériences et de situations vécues par les journalistes. Pour le Française Marie-Agnès Leplaideur, coordonnatrice du projet Syfia Grands Lacs, " la joie d'appartenir à la 'famille' Syfia doit se concrétiser par les travaux en groupe à la fin de la journée ". La trentaine de journalistes logés dans des chambres voisines et parfois deux à deux, ont tous apprécié l'accueil leur réservé à Goma, dans un hôtel situé au bord du lac Kivu.
A noter que ces travaux ont connu la présence de Mme Séverine Donnet Descartes, la chargée du programme Gouvernance à l'Ambassade de la Suisse à Kigali, un jour avant la fin de la formation. Pour boucler la boucle, une conférence de presse avec les journalistes de Goma a été animée par les trois chefs de Bureau du Rwanda, du Burundi et de la RDC, avec les deux autres formateurs venus de l'Europe.

 

Le Phare